Jérôme Mesnager

Les célèbres silhouettes blanches

24 portes d’acrobaties de l’Homme en blanc

Les célèbres silhouettes blanches de Jérôme Mesnager sautent de joie sur les 102 mètres de façade du musée des Arts forains. 24 portes rouges servent de cadres à l’œuvre du street-artiste. Ce lieu convivial et festif aurait inspiré son personnage. On le voit faire des acrobaties d’un côté, notamment la roue et sauter à la perche de l’autre côté. A moins que cet élan sportif ne soit également dû aux JO 2024.

Poursuite des acrobaties de l’Homme en blanc

Réalisation de la fresque le samedi 07 décembre à partir de 14h00

Les acrobaties des silhouettes blanches de l’artiste, visibles sur le Musée des Arts Forains, poursuivront leur course, cette fois-ci en live le samedi 07 décembre à partir de 14h00, pour l’inauguration du Festival sur près d’une trentaine de vitrines des commerçants du Viaduc des Arts. Elles resteront visibles le temps du Festival, jusqu’au 19 décembre.

Jérôme Mesnager

Fils d’un ingénieur, Jérôme Mesnager est élève du Lycée Fénelon Sainte-Marie avant d’entrer à l’école Boulle en 1974 où il suit une formation d’ébéniste et où il enseignera par la suite. En 1979, il suit les cours de bande dessinée d’Yves Got et de Georges Pichard, professeurs à l’École supérieure des arts appliqués Duperré. Il est l’un des fondateurs, en 1982, de Zig-Zag, un groupe d’une dizaine de très jeunes artistes en « zig-zag dans la jungle des villes » qui décident d’occuper la rue en dessinant des graffitis et, aussi, d’occuper brièvement, le temps d’une performance artistique, des usines désaffectées.

Le 16 janvier 1983, il invente l’Homme en blanc, « un symbole de lumière, de force et de paix ». Cette silhouette blanche aussi appelée « Corps blanc » ou « l’Homme blanc », Jérôme Mesnager la reproduit depuis plus de 40 ans à travers le monde entier, des murs de Paris à la muraille de Chine.

« Je fais des tableaux et la toile c’est le monde. » – Jérôme MESNAGER